Mijoté d’hiver au miso

15 commentaires

  1. Bonsoir,
    Tout plein merci pour cette recette doudou qui devrait bien réchauffer l’intérieur car si la chaudière n’est pas en panne (j’espère que ce n’est plus le cas chez vous…) il fait un petit 17 à la maison et ….voilà !
    Donc merci !!!
    Vous serait il possible de me donner les coordonnées pour le miso artisanal fait en France par des personnes d’origine japonaise, je crois. J’en avais acheté il y quelques années sur vos conseils et impossible de retrouver l’adresse. Je voudrais nous faire un petit cadeau de fin d’année bien gouteux. Merci d’avance !

    –> Oui, il s’agit du miso « Sanga » fabriqué en Touraine. Il y a aussi le « Zenmiso » dans le Sud qui est très bon et artisanal.

  2. Bonjour, une soupe réconfortante qui cale , même si je n’ai pas de chaudière en panne, chauffage au bois dans la maison, quelle chance nous avons. J’espère que c’est réparé chez vous

  3. Bonjour Cléa,
    Enlèves-tu la peau des haricots blancs quand ils sont cuits s’il te plaît? Je ressens moins de gêne avec les haricots rouges. Je t’avais posé la question pour une autre recette mais à ce moment là tu les achetais déjà prêts.
    Bonne journée.

    –> Le fait de les cuire dans une eau différente permet de les rendre plus digestes. Si des petites peaux remontent je les enlève, par contre il en reste forcément. Et je confirme qu’ils ont quelques effets indésirables…

  4. Merci ! Belle recette que j’essayerai demain, en faisant cuire les haricots sur le poêle. Merci aussi de glisser régulièrement l’idée d’acheter chez les libraires indépendants ! (Ce n’est pas mon métier mais par soutien pour eux …)

  5. Bonjour,
    Si je mets du petit épeautre à la place du gruau d’avoine ça peu aller? c’est mieux pour l’index glycémique?

    Merci!
    Felicitation pour votre livre Confort food que je vais offrir à ma fille ce Noël!

    –> Ca pourra très bien aller, oui !

  6. Bonjour Clea !
    Ta chaudière n’est toujours pas réparée?…
    Heureusement que tu combines ici réconfort gustatif et chaleur humaine, ça « umamise » le tout 😉

    Bon, je pense que l’on peut décerner à cette recette le titre de « mijoté à la rescou..se, pour modernité défaillante » … :
    ce qui m’amène à m’en inspirer, c’est que j’avais quelques éléments, comme le gruau, dans le congel.
    Qui vient de lâcher…

    Bon, peu de pertes car il n’était pas rempli, et quasi que par du végétal. Heureusement, je déteste gaspiller !

    Ta recette est vraiment une bonne base, surtout que je consomme trop rarement des céréales comme l’avoine, l’épeautre sous forme entière. Pourtant c’est à la fois croquant et fondant sous la dent! C’est marrant parce-que je me suis familiarisée avec ces céréales, dans la même asso que celle qui a approfondi mon initiation au miso 😉

    Quand je parlais de chaleur humaine, je faisais aussi allusion aux livres que tu partages.
    Les tiens sont en effet des valeurs sures à (s’)offrir, vraiment !

    Pour ceux qui ne sont pas de ta plume : merci pour la découverte du tout dernier dans ta liste! Il a l’air doux et intéressant!

    Du même genre…mais dans un autre genre (essai) 😉 :
    je suis très intéressée par le livre de Christian Grataloup sur la mondialisation vue à travers (les tasses) de nos petits-déjeuners.
    Est-ce que tu connais le travail de Grataloup ?
    Il est géo-historien, apporte sa contribution à de nombreux atlas, mais également à des contenus sur la mondialisation alimentaire. J’ai réalisé après-coup que c’est lui qui a écrit la partie sur la baguette de pain, dans le passionnant livre « L’épicerie du monde ».

    Baguette qui a des points communs avec le miso …dans « Marx et sa baguette » ! un livre iconoclaste qui m’avait vraiment touchée et intéressée (et je ne connais pas grand choses aux théories de Marx).

    La fermentation, le temps long, l’artisanat, le koji
    le savoir-faire humain…
    contraint à l’humilité par la sensibilité du vivant à son environnement.

    Le ferment (koki) y est source & leçon de vie…

    En tout cas pour Itaru, en quête de sens ; qui, dans ce livre* illustre sa conception de «l’économie qui pourrit» par son expérience de boulanger de campagne

    C’est avec le réconfort du pain au levain et la sérénité japonaise que ce témoignage défend une éthique humaine & rigoureuse, et une quête de sens

    Je m’arrête là ; je m’égare comme toujours ! car même s’il y a la recette de son pain dedans, ce n’est pas un livre de cuisine 🙂

    Mais je me suis dit que ce récit (vrai) pouvait te/vous intéresser 🙂

    Si c’est le cas, il. y a + de details ici :
    https://madteaandglory.wordpress.com/2019/12/09/recemment-jai-eu-plaisir-a-lire-marx-et-sa-baguette-de-itaru-watanabe-aux-editions-decrescenzo/

    Belle journée !

    –> De superbes recommandations, merci Mathilde ! Et bon courage avec le congèl qui lâche… De mon côté la chaudière est enfin réparée après 8 jours de panne, ça fait du bien.

  7. Fait avec de l’orge à la place de l’avoine et des carottes à la place du potimarron, très bon, chaud et réconfortant. Je l’ai accompagné d’oeufs mollets cuits dans le bouillon, c’était très bien

  8. Essayé et approuvé. recette respectée à la lettre (pour une fois) et délicieuse comme toujours.
    Excellente idée de garder l’eau de cuisson du gruau d’avoine, ça donne un bouillon bien doudou

  9. Bonne année chère Cléa! J’espère que le chauffage fonctionne bien? En ce début de semaine, soupe de butternut du livre de soupes et flan salé au potimarron du livre comfort food (avec une pâte sans gluten et aussi sans fromage) tous deux délicieux. Merci pour toutes ces recettes!

    –> Oui c’est réglé, merci beaucoup ! Belle année !

  10. TRès bonne année Clea. ET merci pour ce mijoté d’hier. recette réalisée hier pour mes gamelles du midi. Très bon et réconfortant. CEla change des currys d’hiver et autres dhals. La prochaine fois je rajouterai des champignons voire même des poireaux. Hélène

  11. C’était bon, Clea, merci !
    Je n’ai pas racheté de gruau d’avoine parce que j’essaye d’aller un peu au bout des placards de ma cuisine (et je suis loin d’y arriver !). Je l’ai remplacé par du couscous d’orge brisé que je n’ai pas fait tremper avant, du coup. J’ai simplement ajouté de l’eau en même temps, presque un litre au final, et avec la butternut, les feuilles d’épinards frais de la veille et le miso pour le goût, c’était super.

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