Rhubarbe or not rhubarbe ?

17 commentaires

  1. Quel dommage!
    Ce matin en m’inscrivant au prochain blog appétit, je me suis demandée ce qu’allait nous mitoner notre Blog Gourmande du Japon sur ce thème.
    Ne serait-il pas possible de t’envoyer un peu de rhubarbe par colis aéronautique?

  2. Coucou Anne ! Merci pour ta proposition ! En fait, pour tout te dire, il semblerait que je sois en bonne voie pour trouver une solution… mais chut, c’est un secret 😉

  3. Dommage pour la rhubarbe 🙁 As-tu quand meme reussi a identifier la nature de ce fruit/legume ? Je me demande vraiment ce que c’est ! Ce serait quand meme bien que tu puisses cuisiner ces racines que tu as trouvees pour Blog Appetit, dans le cas ou celles-ci s’averent apparentees a la rhubarbe… Tu as le droit de substituer les ingredients par un cousin si tu ne le trouves pas… Bonne chance !

  4. Il faudrait que cela soit toi qui décide des ingrédients et que tu ne proposes QUE des trucs super durs à  dénicher, sureau, Giraumon d’Eysines et Cerfeuil Tubéreux…
    A bientôt, si tu as de grandes jardinières, tu peux la cultiver sur ton balcon géant, la bougresse !

  5. Et pourtant, je ne suis pas au fin fond de l’Orient, mais seulement au Portugal! Plus frustrant encore: il paraît que la rhubarbe est arrivée de Chine. Quand tu penses que les navigateurs portugais ont ramené en Europe la plupart des produits asiatiques que nous connaissons par ici, pour ne citer que le plus célèbre, le thé, et qu’ils n’ont pas planté de rhubarbe chez eux!… Peut-être n’ont-ils pas aimé ça…

  6. Estelle, eh bien oui, je l’ai finalement identifié ! Il s’agit de « fuki », autrement appelé « Japanese butterbur », ou en latin « Petasites hybridus » (j’aime beaucoup le nom latin !).
    Ceci dit, je cherche toujours le nom en français, mais j’ai lu qu’on pouvait le confondre avec la rhubarbe (ha !) et qu’il était cultivé dans les pays humides. Au Japon, on le cultive parce qu’il aurait des pouvoirs thérapeutiques (notamment sur la migraine), et je me dis qu’il y a de grandes chances pour que ce brave légume qui attend bien sagement dans mon frigo soit un OGM au Paracétamol.
    Enfin, je n’ai plus très envie de le cuisiner, surtout qu’il n’a vraiment pas de goût, et en tout cas pas du tout celui de la rhubarbe !

    Manoue, pour ce qui est de le planter, c’est compter sans mon immense pouvoir destructeur : non seulement je n’ai pas la main verte, mais j’ai en plus des élans criminels envers les petites plantes qui poussent sagement chez moi, les laissant mourir de soif et agoniser sans m’en rendre compte (ou en tout cas, pas consciemment !).

    Elvira, je compâtis… C’est dingue que tu n’en trouves pas là -bas non plus ! Et les compotes Bonne Maman, tu as essayé ? 😉

    Bises à  toutes les trois
    Clea

  7. Sais-tu qu’en Italie aussi apparemment la rhubarbe est difficile à  trouver.

    Bon j’attends avec impatience le 6 juin pour voir quelle botte secrète tu vas nous sortir !!

  8. Actually, this is NOT rhubarb! I thought it was, I bought it, but it wasn’t! It’s called fuki, or Japanese butterbur, and it’s not really tasty :S
    Any idea of what I could do with it? (it’s still in my fridge!!)

  9. C’est super d’avoir trouvé tout ça ! A l’époque, j’avais mis un certain temps à  comprendre de quoi il s’agissait… Maintenant, je n’ai plus aucun excuse !

  10. Bonjour!
    J’habite au Japon et j’ai acheté ce matin des tiges de fuki en espérant bien (mais peu optimiste: les tiges n’ont pas le rouge de celles de la rhubarbe) que ce serait de la rhubarbe. Rentrée chez moi je fais une recherche sur le web et je tombe sur ta page. Mais en continuant mes recherches, je reste peu convaincue que le « fuki »= petasite japonaise, soit comme tu le dis de l’angelique.
    En tous cas, comment l’avais-tu cuisiné? J’ai trouvé sur le web uniquement cette info sur l’utilisation culinaire qu’en font les japonais:
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    – jeunes inflorescences, jeunes pousses foliaires ainsi que les pétioles des feuilles développées (après qu’on les ait pelés et coupés en morceaux) bouillis à plusieurs eaux puis servis en sauces ou en gratin ;
    Au Japon, on l’utilise de plusieurs manières :
    – jeunes pousses encore refermées sur elles-mêmes crues en tempura ;
    – ces mêmes jeunes pousses sautées à cru avec beaucoup d’huile (comme frit). On égoutte l’huile, puis on ajoute de la pâte miso. Cette recette, le Fukinotou Miso, se sert avec du poisson, du riz ou du boeuf ;
    – on utilise aussi les grandes tiges épluchées puis bouillies à l’eau salée, assaisonnées de sauce soja (shoyu), de sake, d’eau et de sucre, pour accompagner du poisson ou de la ventrèche de porc ;
    – jeunes feuilles en tempura. »
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    Merci pour tes conseils!

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